samedi 15 octobre 2011

Mallarmè Stèohane-1842-1898***************

Brise Marine: La hair est triste,hèlas! et j'ai lu tous les livres. Fuir! là -bas fuir! je sens que des oiseaux sont ivres D'être parmi l'ècume inconnu et les cieux! Rien,ni le les vieux jardins reflètès par les yeux Ne retiendra ce coeur qui dans la mer se trempe O nuits! ni la clartè dèserte de ma lampe Sur le vide papier que la blancheur dèfend Et ni la jeune femme allait son enfant. Je partirai! steamer balançant ta mâture, Lève l'ancre pour une exotique nature! Un ennui,dèsolè par les cruels espoirs, Croit encore à l'adieu suprême des mouchoir! Et,peut-être,les mats,invitant les oranges Sont-ils de ceux qu'un vent penche sur les naufrages Perdus,sans mâts,sans mâts,ni fertiles îlots..... Mais,ô mon coeur,entends le chant des matelots! (Poesies.Du Parnasse Contemporains)(1866).

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